5 ingrédients à piquer aux végans

Les végans (ou végétaliens) ne consomment aucun produit qui soit issu de la filière animale. Exit la viande ou le poisson, bien sûr, mais aussi le lait, les œufs et même le cuir ou la laine. Un choix éthique qui ne condamne pas à être privé de tout plaisir alimentaire, loin de là. Si ce sont les graines germées et les galettes de quinoa vous viennent à l’esprit, gardez bien en tête que des cookies caramel-chocolat peuvent être végétaliens et bons. Eh oui.

Le soja peut remplacer la plupart des produits laitiers : on en fait du tofu, qui peut avoir plusieurs consistances. Soyeux, il est utilisé pour remplacer la crème fraîche faite à partir de lait de vache. Il représente un intérêt certain pour tous : plus sain que la crème, il n’en est pas moins gourmand puisqu’il permet de réaliser gâteaux et quiches en limitant l’apport en matières grasses.

La gélatine issue du porc n’entre évidemment pas dans l’alimentation végane. Certaines recettes ont néanmoins besoin d’un gélifiant, et c’est là que l’agar-agar entre en scène. Issu d’une algue, ce produit 100% végétal permet de réaliser des recettes sucrées et salées tout comme la gélatine.

Certes, le sirop d’agave ne saurait remplacer le miel dans tous ses usages : fort pouvoir sucrant oblige, il deviendrait trop vite écœurant en tartine. Mais les amateurs d’un trait de miel dans le yaourt ou dans une tasse de thé apprécieront sa texture sirupeuse. Le bonus ? Un apport calorique moindre.

De la glace, du yaourt, du fromage : voilà autant de produits que l’on peut réaliser avec des laits végétaux. Lait de coco, lait de soja, lait de riz ou lait d’amande constituent des alternatives au lait de vache ou de chèvre. Pourquoi les privilégier ? Ils ne posent aucun problème d’allergie, se digèrent plus facilement et apportent minéraux et vitamines à l’organisme.

Pour un amoureux de viande, rien ne remplacera jamais une entrecôte saignante, et c’est comme ça. Mais pour peu qu’on s’intéresse à d’autres sources de protéines, les steaks de soja constituent par exemple un excellent substitut, même si d’un point de vue gustatif, on est encore loin du compte. À essayer : le seitan. Ni cholestérol, ni graisse saturée, ni purine, mais des protéines végétales en grande quantité, sans graisse saturée. Du côté de la composition, le seitan est une pâte de Pour un amoureux de viande, rien ne remplacera jamais une entrecôte saignante, et c’est comme ça. Mais pour peu qu’on s’intéresse à d’autres sources de protéines, les steaks de soja constituent par exemple un excellent substitut, même si d’un point de vue gustatif, on est encore loin du compte. À essayer : le seitan. Ni cholestérol, ni graisse saturée, ni purine, mais des protéines végétales en grande quantité, sans graisse saturée. Du côté de la composition, le seitan est une pâte de débarrassée de son amidon : il ne reste que le gluten. A déconseiller, évidemment, aux intolérants (maladie cœliaque). Pour les autres, le seitan sait se faire passer pour du poulet ou du canard et fait merveille dans des poêlées de légumes.